Troisième lettre de nouvelles

On parle pour tisser un lien, on écrit pour donner forme à un monde incertain, pour sortir de la brume en éclairant un coin de notre monde mental.
Quand un mot parlé est une interaction réelle, un mot écrit modifie l’imaginaire.

Boris Cyrulnik, La nuit, j’écrirai des soleils

Parce que notre vie n’est pas écrite d’avance…

Parce que notre passé en lui-même ne fait pas sens, nous avons besoin au présent de la parole partagée, de l’écriture et de la mise en récit pour que s’opère une alchimie intérieure, occasion de renaître à ce monde avec élan et passion.

Si votre histoire vous interroge, si vous avez envie de regarder derrière pour mieux bifurquer ou librement choisir le chemin d’aujourd’hui, l’atelier

« Ma vie, quelle histoire ? »

vous offre l’opportunité de vivre une belle aventure !

 

Aucun pré-requis, aucun talent particulier n’est nécessaire pour vous lancer.

Le désir d’y voir clair; de rassembler les traces; de mettre de l’ordre; de vous souvenir et d’imaginer; de transmettre ou d’arrêter une transmission; le courage d’aller à la rencontre de soi, de vos blessures, de vos manques et absences, de votre souffrance; la quête d’un sens ouvert comme promesse de transformation… Voici autant de motivations qui pourraient vous habiter en ce moment.

Au plaisir de cueillir vos inscriptions et de vous accueillir dans cette démarche qui me tient à cœur.

FT / mars 2020